Bigorexie et prise de compléments alimentaires
- Hamburcoeur
- 4 avr. 2022
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Notre société actuelle offre un sujet d’intérêt qui gravite autour de l’apparence, et qui entraîne le milieu de la musculation au centre des attentions. La course aux gains physiques est lancée, qu’ils concernent le pourcentage de masse grasse, les charges soulevées dans chaque mouvement, ou encore la qualité des stries musculaires perçues, tout est comparé, égalé, dans l’unique but d’aller toujours plus loin dans la performance athlétique. Seulement, ces attitudes sociales ne sont pas sans conséquences, tant sur les plans émotionnels, que physiologiques.
La dysmorphie musculaire est une maladie en pleine émergence qui touche principalement les culturistes masculins. Ces personnes sont obsédées par le fait d'être insuffisamment musclées. Les compulsions incluent passer des heures dans la salle de sport, gaspiller des sommes excessives d'argent dans des suppléments sportifs inefficaces et des habitudes alimentaires anormales.
Une étude a prouvé qu’il existait une relation positive entre attitudes alimentaires et les troubles de la dysmorphie musculaire, c’est à dire l'insatisfaction vis-à-vis de la graisse et des muscles.
On essaiera de comprendre les caractéristiques de la bigorexie, puis par quoi passe la prise en charge d’un dysmorphique musculaire sur le sujet des compléments alimentaires et enfin, comment est-ce que le diététicien met en place une alimentation suffisante pour combler des besoins énergétiques très élevés d’une personne atteinte d’une perturbation de l’image corporelle.
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