Liens entre alimentation et endométriose

Grâce au déploiement de la parole féminine dans notre société actuelle, et plus particulièrement sur les réseaux sociaux, l’endométriose n’est plus un sujet tabou et commence progressivement à gagner les consciences. Il est également de moins en moins fréquent de rencontrer des corps médicaux qui ne sont pas informés de cette « maladie féminine du siècle ». Pendant de nombreux siècles, les femmes n’ont pas eut ce droit de parole quant à leurs douleurs menstruelles, qui parfois malheureusement pouvaient cacher d’éminents symptômes, et au long terme: de lourdes séquelles. Malheureusement, l’épidémiologie de l’endométriose sur sa fréquence dans la population générale ne peut pas être estimée avec précision.

Dans les chiffres, l’endométriose est une maladie chronique qui touche 176 millions de femmes dans le monde. 80% des femmes en France souffrent de règles douloureuses, 25 à 40% souffrent pendant leurs rapports sexuels et 10 à 20% d’entre elles qui sont en âge de procréer sont diagnostiquées: atteintes de l’endométriose. Ces chiffres sous-entendent que le diagnostic n’est pas encore complètement efficace et qu’il reste une grande majorité de femmes qui souffrent quotidiennement, mais qui n’ont pas encore été au bout de leur diagnostic.

On s’intéressera à cette maladie, en étudiant sa physiologie et son fonctionnement, puis ses traitements. N’existant pas de réel remède permettant d’éradiquer la maladie, on s’intéressera à la place qu’a la nutrition dans le quotidien de ces femmes atteintes de l’endométriose, en regardant tout d’abord le type d’alimentation qui peut influencer négativement cette maladie et augmenter les risques d’aggraver la maladie, avant de s’intéresser au régime alimentaire adapté qui peut présenter un moyen naturel pour soulager les symptômes et épargner au maximum les femmes de la douleur.

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